(18 février 1922, Duck Lake, Saskatchewan – 3 janvier 1952, Montréal)
Elle se fait connaître très tôt dans les milieux artistiques montréalais et devient une vedette populaire dans les radio-théâtres sur les ondes de Radio-Canada.Elle a signé le Refus global, un manifeste artistique et politique ( citoyen ) publié en 1948, avec l'appui de quinze cosignataires dont les peintres Jean-Paul Riopelle,Pierre Gauvreau, Marcel Barbeau et Marcelle Ferron ainsi que son amour Claude Gauvreau* Gratien Gélinas a créé pour elle le rôle de Marie-Ange dans Tit Coq (1948).
Jean-Paul Sartre, de passage au Québec en février 1946, la voit jouer dans Huis clos et lui offre de venir jouer la pièce à Paris. En 1947, Claude Gauvreau et Muriel apparurent ensemble dans Bien-être, pièce écrite par lui pour elle. Au-delà de cet «amour fou» dont elle se sent prisonnière. ( ... )Celui-ci la considère comme la cristallisation de l'idéal féminin selon le surréalisme et elle devint le grand amour de sa vie. Il la surnomme « la muse incomparable » et écrit un roman à clé sur elle : Beauté baroque.
Après plusieurs tentatives de suicide, elle arrive à ses fins le 3 janvier 1952. Elle était la sœur de la comédienne Dyne Mousso.
Montage du texte à partir de :
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http://agora.qc.ca/thematiques/mort.nsf/Dossiers/Muriel_Guilbault
http://fr.wikipedia.org/wiki/Muriel_Guilbault
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